Ateliers – Démarches

Sur cette page : les aspects concrets, les mises en pratiques de nos idées. Pour en savoir plus sur ce que nous entendons par « démarche d’auto-socio-construction » ou pour les aspects théoriques qui constituent nos cadres de référence, rendez-vous sur cette page.


Démarche « Entre histoire, mythe et marmite. L’escalade: une fête pourquoi ? » Démarche dite « de l’Escalade », créée et animée par le GREN.

De nos jours, la Compagnie de 1602, fondée en 1926, orchestre la fête, devenue l’événement fondateur du patriotisme genevois. A partir du milieu des années 1950, son caractère religieux et politique s’est estompé, au profit d’une journée de liesse populaire – et sportive – qui s’inscrit dans un mouvement général de besoin d’identification régionale.

Nous avons mené une réflexion autour des valeurs que nous servons en fêtant l’Escalade. La Démarche de l’Escalade montée pour la première fois en 2010 s’intitule « Entre histoire, mythe et marmite. L’escalade: une fête pourquoi? »


Atelier d’écriture « Provision pour l’hiver« 

Atelier d’écriture créé à l’occasion des journées du GREN à Genève en 1999 par Yves Béal et Frédérique Maïaux, conseillers pédagogiques, à partir du livre  » Frédéric  » de Léo Lionni. Il a été animé le 14 octobre 2005 dans le cadre du Groupe Départemental Maîtrise de la Langue dans le but de constituer une culture de référence en matière d’écriture de création avec de jeunes enfants de Cycle 1 et Cycle 2. Déjà animé à plusieurs reprises en maternelle, il suppose évidemment une adaptation au niveau de la conduite d’animation. Chaque personne qui l’a vécu a pu éprouver pour elle-même ce que cette pratique met en jeu au plan personnel, au plan de l’écriture, en tant que démarche de création.


Démarche « Un, deux, trois… Je m’en vais au bois« 

Créée par E. Vellas, la démarche a été animée pour la première fois en 2003.


« Le tricheur »  … Copier ou modéliser?

Nous avons reconstruit une démarche inventée par le secteur sur la lecture de l’œuvre d’art qui met à jour comment se construit une place de spectateur, sur quels indices se construit un regard. Le fait de rendre ces indices parlant, de les parler, est ce qui permet au spectateur de se construire une liberté critique envers le rapport émotionnel qu’il entretient individuellement avec ce qui à travers un tableau est rendu visible. Le regard est bien entendu organisé par celui qui fabrique le tableau, le donne à voir, dans un jeu que la discussion dans l’atelier peut mettre à jour. Dans ce jeu même ; par composition, soustraction, invention, le créateur opère des ruptures dans un mode de voir précédemment consensuel, le travail plastique des participants est orienté vers ce travail du choix.